Si quelqu’un t’inquiète ou te met mal à l’aise, même s’il s’agit d’une personne que tu apprécies, que tu connais bien ou avec qui tu parles depuis longtemps sur Internet… Que faire ?
Écoute tes émotions : peur, gêne, sentiment que quelque chose est « bizarre »… Parles-en à tes parents ou à un adulte de confiance !
Si tu as vu des images / des vidéos qui t’ont choqué(e) ou fait peur (scène d’horreur, agression, incitation au suicide)… Si elles restent dans ta tête, si tu y penses souvent ou si ça t’empêche de dormir…
La violence, les insultes, la souffrance ne doivent pas être banali- sées. Confie-toi à quelqu’un qui pourra te rassurer et t’aider à les rem- placer par des images apaisantes, drôles ou joyeuses.
Si tu tombes sur un site pornographique… Si tu es fasciné(e) ou dégoûté(e)…
Ne crois pas devoir faire pareil dans la vie. C’est une vision fausse et brutale de la sexualité. Informe-toi auprès de personnes de confiance avec qui discuter d’amour et de vraie sexualité basée sur le respect et le consentement de chacun(e). Tu peux aussi poser tes questions à Fil Santé Jeunes au numéro gratuit 0 800 235 336 / par tchat (filsantejeunes.com) ou échanger avec des professionnel(le)s dans des lieux d’écoute et de conseil comme les Espaces Santé Jeunes ou les Maisons des Adolescents.
Si tu n’arrives plus à t’arrêter, à contrôler ton temps d’écran sur Internet et si tu commences à t’isoler, à déprimer, à ressentir de la colère, de la tristesse ou de l’angoisse…
Stop ! Tu es accro ! Demande de l’aide !
Si tu te fais harceler sur Internet, si on t’envoie des messages de haine, si on fait circuler des photos de toi sans ton accord, si tu es victime de rumeurs… Dis-toi que ce sont des gens lâches, bêtes et fragiles, qui se cachent derrière leur écran.
Ne les écoute pas et cherche de l’aide, tu as le droit d’être pro-tégé(e) ! Préviens tes parents, ton collège, contacte une personne de confiance ou un numéro d’urgence pour arrêter ces violences.
Si quelqu’un te menace ou te fait du chantage, si tu as peur qu’il te fasse du mal, à toi ou à des personnes que tu aimes si tu ne lui obéis pas… Si tu ressens de la honte ou de la culpabilité car tu as désobéi ou agi en cachette. Si on essaie de te faire croire que c’est toi qui l’as cherché ou qu’on t’a fait promettre de n’en parler à personne…
Urgence ! Tu as besoin de te confier vite pour qu’on t’aide à sortir de cette situation.
Si tu as peur ou si tu n’es pas à l’aise pour en parler à tes parents… Tu n’es pas seul(e), plusieurs adultes autour de toi peuvent t’aider.
Parles-en calmement et vite à une personne en qui tu as confiance : un membre de ta famille, les parents d’un ami(e), un médecin, un(e) ensei- gnant(e), un(e) animateur(trice), un(e) surveillant(e), un(e) psychologue, la direction ou l’infirmière de ton école, collège…
Si on ne te croit pas ou qu’on ne fait rien alors que tu as eu le courage de te confier…
Ne pense pas que c’est de ta faute ! Insiste pour trouver quelqu’un d’autre jusqu’à ce qu’on t’écoute et qu’on agisse pour te protéger. C’est la responsabilité des adultes de protéger les enfants et les adolescents !
Tu te sens piégé(e) :
Si quelqu’un t’inquiète ou te met mal à l’aise, même s’il s’agit d’une personne que tu apprécies, que tu connais bien ou avec qui tu parles depuis longtemps sur Internet… Que faire ?
Écoute tes émotions : peur, gêne, sentiment que quelque chose est « bizarre »… Parles-en à tes parents ou à un adulte de confiance !Si tu as vu des images / des vidéos qui t’ont choqué(e) ou fait peur (scène d’horreur, agression, incitation au suicide)… Si elles restent dans ta tête, si tu y penses souvent ou si ça t’empêche de dormir…
La violence, les insultes, la souffrance ne doivent pas être banali- sées. Confie-toi à quelqu’un qui pourra te rassurer et t’aider à les rem- placer par des images apaisantes, drôles ou joyeuses.Si tu tombes sur un site pornographique… Si tu es fasciné(e) ou dégoûté(e)…
Ne crois pas devoir faire pareil dans la vie. C’est une vision fausse et brutale de la sexualité. Informe-toi auprès de personnes de confiance avec qui discuter d’amour et de vraie sexualité basée sur le respect et le consentement de chacun(e).Tu peux aussi poser tes questions à Fil Santé Jeunes au numéro gratuit 0 800 235 336 / par tchat (filsantejeunes.com) ou échanger avec des professionnel(le)s dans des lieux d’écoute et de conseil comme les Espaces Santé Jeunes ou les Maisons des Adolescents.
Si tu n’arrives plus à t’arrêter, à contrôler ton temps d’écran sur Internet et si tu commences à t’isoler, à déprimer, à ressentir de la colère, de la tristesse ou de l’angoisse…
Stop ! Tu es accro ! Demande de l’aide !Si tu te fais harceler sur Internet, si on t’envoie des messages de haine, si on fait circuler des photos de toi sans ton accord, si tu es victime de rumeurs… Dis-toi que ce sont des gens lâches, bêtes et fragiles, qui se cachent derrière leur écran.
Ne les écoute pas et cherche de l’aide, tu as le droit d’être pro-tégé(e) ! Préviens tes parents, ton collège, contacte une personne de confiance ou un numéro d’urgence pour arrêter ces violences.Si quelqu’un te menace ou te fait du chantage, si tu as peur qu’il te fasse du mal, à toi ou à des personnes que tu aimes si tu ne lui obéis pas… Si tu ressens de la honte ou de la culpabilité car tu as désobéi ou agi en cachette. Si on essaie de te faire croire que c’est toi qui l’as cherché ou qu’on t’a fait promettre de n’en parler à personne…
Urgence ! Tu as besoin de te confier vite pour qu’on t’aide à sortir de cette situation.Si tu as peur ou si tu n’es pas à l’aise pour en parler à tes parents… Tu n’es pas seul(e), plusieurs adultes autour de toi peuvent t’aider.
Parles-en calmement et vite à une personne en qui tu as confiance : un membre de ta famille, les parents d’un ami(e), un médecin, un(e) ensei- gnant(e), un(e) animateur(trice), un(e) surveillant(e), un(e) psychologue, la direction ou l’infirmière de ton école, collège…Si on ne te croit pas ou qu’on ne fait rien alors que tu as eu le courage de te confier…
Ne pense pas que c’est de ta faute ! Insiste pour trouver quelqu’un d’autre jusqu’à ce qu’on t’écoute et qu’on agisse pour te protéger. C’est la responsabilité des adultes de protéger les enfants et les adolescents !